"Claques"

 

"Palvadoù"

Une grande Saga Bretonne fantastique et réelle

 

1755. Une fillette est battue à mort dans une forêt à proximité de son manoir en Bretagne sur la lisière de la forêt de Brocéliande. Ses tantes, des fées, appellent l'enchanteresse Viviane pour tenter de la garder en vie.

1948. Un enfant de la même lignée généalogique est le souffre-douleur de sa famille. Cette violence a influé toute sa vie en l'obligeant à adopter un mode de comportement adapté aux situations inappropriées : maltraitance, humiliation, mise en danger, bizutage, harcèlement, mise à l'écart, etc., qu'il a vécues.

À entendre les cris et les pleurs des deux enfants, les bonnes fées de la famille prirent en main leurs destins pour les fusionner. À la recherche d'une enveloppe corporelle pour sauver la petite fille ---Maryefie--- , la fée Viviane, avec ses pouvoirs extraordinaires, "fond" la petite fille dans le corps du garçon. Tout au long de son aventure, la petite fille dans sa tête guide son parcours, évitant les obstacles, l'aidant à rendre les claques qu'il reçoit. Très vite, elle contrôle tout : la mémoire, les sentiments, les gestes et les paroles. Parfois, elle abuse de ce pouvoir.

Maltraité, le garçon ---Philippe--- à une double personnalité : il présente une image lisse d'incapable et de taiseux aux bourreaux pour ne pas exciter les coups. Au fond de lui, il analyse chaque situation et imagine une action.

Dans le livre, l'existence de Maryefie (une fée bretonne) permet à l'auteur d'exprimer la personnalité cachée du garçon.

Avec une basse estime de soi, projetant en permanence une image détériorée malgré son potentiel interne élevé, au fil des ans et des aventures, la fille-fée va tenter de le prendre en charge et de le faire évoluer au mieux de ses intérêts.
Adolescent, il est placé dans une famille d'accueil. En fin de scolarité, il est reçu au concours des Ecoles Normales qu'il intègre pour plusieurs années.
Devenu enseignant-chercheur, il est aux prises avec des responsables et des collègues qui tentent de s'approprier ses pouvoirs scientifique et pédagogique. Il devient alors l'objet de harcèlement avec des petites méchancetés inappropriées qui le gênent dans la diffusion de ses connaissances auprès des étudiants et dans l'élaboration de sa recherche. Dans chaque cas, avec l'aide de Maryefie, il tente avec succès de faire évoluer la situation à son profit, en douceur.

En fin de carrière, il met en œuvre des méthodes pédagogiques dynamiques dans ses responsabilités vis-àvis des étudiants. Avec la retraite, des souvenirs de maltraitance occultés resurgissent. Horrifiée, Maryefie en pleure tandis que Philippe avoue méchamment : Il n'y a que la haine qui m'aime.

Ce récit est une autofiction quelque peu fantastique écrite par un enseignant. Il met en évidence les capacités du héros à se construire tout au long de sa vie professionnelle et personnelle malgré les traumatismes de son enfance-adolescence et du harcèlement amplifié par les contradictions du monde universitaire dans lequel il évolue.

 

 

 

 


Appréciation des lecteurs

 


[..]
Enfin, je prends un instant pour te dire tout le plaisir que j'ai eu à lire et à comprendre ton roman.
Permets-moi avant tout de te féliciter pour la forme générale, avec les chapitres bien structurés, titrés, et les nombreuses notes, toujours pertinentes.
L'idée de base est bien entendue excellente, avec la symbolique liée à ce postulat de base du départ un peu surnaturel, avec ton invention de la double personnalité qui te permet ensuite toute la licence nécessaire pour épingler les différents moments d'une vie professionnelle sous couvert du fantastique.
J'ai aimé aussi l'humour, la finesse d'esprit, le jeu des personnalités, les dialogues pertinents, les joutes entre Maryefie et Philippe.
Les petits bémols seraient, sans doute, une certaine sécheresse de style ---phrases courtes, peu de place aux émotions, une prose analytique, peu affective, presque scientifique, une appréhension technicienne du monde, et aussi le côté un peu répétitif de ces chronologies, laissant peu de place à l'imprévu, puisqu'on avance au fil d'une vie, sans flash backs, sans méandres, c'est un peu lisse, tu comprends?
J'ai senti à ma lecture qu'il s'agissait d'un ouvrage extrêmement travaillé, sans doute longuement pensé, et il est vrai que l'on s'attache à la fois au caractère de Philippe et de Maryefie, et que l'arrière plan social-monde universitaire, étudiants, professeurs..., est aussi superbement dépeint.

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Je me sens plus à l'aise avec le tutoiement. Si tu n'y vois pas d'inconvénient, je vais te donner mon avis sur ton tapuscrit sous la forme du "tu".
Tout d'abord, ton roman se lit avec beaucoup de plaisir. Je suis entrée dedans et je n'ai pas pu le quitter tant que la dernière page n'a pas été tournée. Ton style est fluide, agréable, ton vocabulaire à la portée de tous et j'ai beaucoup aimé que tu "traduises" ce qui pourrait poser problème à tes lecteurs (mots en breton, mots techniques, etc.).
J'ai adoré le personnage de Maryefie, qui est résolument moderne, bien plus que Philippe d'ailleurs, qui est plus classique. Cela devrait être le contraire, n'est-ce pas, vu le temps qui les sépare (rire). Et puis, les autobiographies sont bien souvent "chiantes" et " nombrilistes " à lire, alors que là, entre Philippe et Maryefie, on est dans l'autobiographie mais sans jamais se lasser. Au contraire, on trouve que la paire est bien sympathique. On a envie d'aller de l'avant avec eux et, nous aussi, d'accompagner Philippe, comme le fait si bien Maryefie.
Voilà pour mon impression générale de ton récit.
[...]
Bien sûr, Philippe, les différents points évoqués plus hauts ne sont que des conseils et tu en fais ce que tu en veux. Tu peux en tenir compte ou pas. Après tout, c'est toi l'auteur. En tout cas, quel que soit ton choix, je t'encourage pour ton roman qui est vraiment un très beau travail d'écriture.
Encore toutes mes félicitations pour ton œuvre littéraire!


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Nous l'avons attentivement lu et étudié […] ses qualités et le ton qui nous séduisent […].
Le thème et le récit sont fort intéressants […].

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J'ai lu votre manuscrit et j'ai été séduite par le thème. L'histoire et le ton sont tout à fait plaisants et offrent au lecteur une qualité de narration qui rend sa lecture très agréable. Le début de votre roman correspond donc tout à fait à cela, avec de charmantes descriptions du coin de la Bretagne où évolue premièrement Philippe et les allusions constantes au contexte d'après-guerre.
Le début du roman, avec l'élément merveilleux que constitue Maryefie et ses tantes est tout à fait surprenant. Le côté science fiction du début surprend, et surprend d'autant plus qu'il est par la suite laissé en désuétude. Vers la fin du roman, on apprend que Maryefie use de plus en plus de ses pouvoirs, or on avait presque oublié qu'elle en avait, ayant mis en valeur les plaisanteries et la taquinerie dont elle fait preuve et qui, d'ailleurs, apportent au roman une touche humoristique très pertinente.
Les descriptions des années 50 et 60 sont fabuleuses et correspondent tout à fait à notre thème .

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Votre manuscrit nous a bien été transmis et nous vous en remercions, ainsi que de l'intérêt que vous portez à notre maison d'édition.
Nous tenons à vous dire que votre écriture est très belle et votre manuscrit particulièrement réussi.

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J'en suis page 30. Je trouve ça bien chouette.

Bon j'en suis page 155. Là, je me couche. Je le finis demain. J'aime beaucoup la Bretonne dans la tête, elle est marrante. Bravo. Suis admirative !

Bon j'ai fini! Dévoré! Beaucoup aimé! En repensant aux critiques, je ne comprends pas celle qui disait que maryfie disparaît a un moment du récit et reparaît ensuite, puisqu'elle était bien là tout du long. Bref, je te souhaite beaucoup de succès.

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Récit de vie. Toute une vie de prof.
Sujet très original Cette double personnalité à travers les âges, c'est drôlement bien trouvé, et dur à mener ! L'auteur s'en tire très bien !

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Heurs et malheurs d'un prof.. Maltraitance dans l'enfance et harcèlement professionnel.
Magouilles et petits esprits dans l'enseignement supérieur. Pas joli joli ! .
Aucune école n'est citée. C'est éthique mais presque dommage .!


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Pour connaître les différents personnage de Claques :

Page de la famille Kerpeuch de Bomaner

 

Accès aux différents livres

 

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